Pour sa première sélection en équipe nationale Espoirs, il a fait bonne impression au point d’être retenu pour le tournoi amical international des huit nations en Afrique du Sud. Il Nous parle de sa jeune carrière en Uruguay, de ses ambitions sous le vert rouge jaune, de son papa et surtout de son manager, Dominic Tené Soh.
Vous venez de connaître votre première sélection avec cette équipe nationale Espoirs, comment s’est passé le stage dans l’ensemble ?
Le plaisir a été pour moi de faire ce stage avec cette équipe nationale Espoirs, je remercie tout d’abord l’entraîneur de la sélection Camerounaise qui m’a permis d’être l’un des représentants Camerounais lors de ce tournoi qui se joue en Afrique du Sud. Depuis mon arrivé, le stage s’est très bien déroulé, je note que l’ambiance avec les camarades était bien, je crois que si nous continuons de cette façon en Afrique du Sud nous allons faire un bon résultat.
Comment vous avez accueilli votre sélection ?
Je crois que j’ai été très heureux d’apprendre que j’ai été retenu par le coach des lions Espoirs, mon souhait en allant en Uruguay était réussir une carrière professionnelle et revenir jouer pour mon pays. Souvent on pense revenir en sélection A, mais si ça commence pas les espoirs, il n’ y a pas de problème, il faut simplement donner le meilleur de soit, surtout que du côté de l’Uruguay où je joue on n’a pas beaucoup d’informations sur ce football ici au Cameroun, donc la meilleure idée est de venir se faire connaître et attendre une sélection meilleure.
Comment vous vous êtes retrouvé en Uruguay ?
Par le canal d’un manager Camerounais, Dominic Tené Soh qui travaillait en Uruguay avec les partenaires, c’est lui qui m’a demandé il y a trois ans d’aller faire des tests en Uruguay, j’y suis allé et les tests étaient concluants, je suis entré au Nacional de Montevideo par le centre de formation et depuis un et demi j’ai un contrat professionnel. Dominic Tené Soh compte vraiment beaucoup dans ma carrière, il a cru en moi et à mon talent.
Depuis trois ans vous êtes en Uruguay, comment ça se passe de ce côté ?
Je suis en Uruguay et ça se passe plutôt bien, je suis parti du pays il y a trois ans, je suis sociétaire du Club Nacional Montevideo actuellement champion d’Uruguay.
Comment évaluez vous le niveau du championnat Uruguayen ?
Pour ceux qui connaissent, Achille Webo, Angbwa Benoît ont joué dans mon équipe, le niveau du championnat est très élevé. C’est bien pour un joueur qui rêve avoir une grande carrière de passer par ici, c’est le vivier des clubs Européens, plusieurs joueurs sont passés par ici pour décrocher les grands contrats en Europe.
Pour ce qui est du traitement des joueurs, les salaires et autre prime ça se passe bien ?
Sur ce plan il y a pas de problème, c’est vrai que ce n’est pas le top niveau comme en Espagne, Angleterre, mais les primes de matches passent, les salaires aussi.
Vous comptez jouer là bas pour combien de temps encore ?
Actuellement il me reste un an et demi de contrat, pour le moment je suis encore en Uruguay, je ne sais pas pour combien de temps encore, en football les choses vont si vite.
Quel est votre poste de prédilection ?
Quand je suis arrivé dans le club, j’étais arrière gauche, mais avec le temps les entraîneurs que j’ai côtoyé m’ont toujours utilisé en milieu de couloir avancé parce qu’ils disent qu’avec ma vitesse et la technique individuelle il est anormal que je joue lateral.
Vous êtes le fils d’un ancien lion indomptable, est-ce que cette situation ne vous pousse pas à plus de responsabilité sur le terrain ?
Les gens pensent que c’est une compétition familiale, pour moi, pour avoir ma fierté personnelle, je dois suivre les traces de mon papa, si c’est possible, atteindre le niveau qu’il n’a pas pu atteindre, mais pas pour lui manquer de respect sinon continuer ce qu’il n’a pas pu faire et continuer à brandir le nom de la famille. Je suis fier de pouvoir faire une carrière professionnelle et porter le nom de mon papa.
En Uruguay, quand vous ne jouez pas au football vous faites quoi ?
Quand je ne suis pas dans les stades, je passe le temps à la maison avec les jeux vidéos, je rends visite aux amis, c’est impossible de vivre seul ici, je vis actuellement avec ma copie, une Uruguayenne.
Quels sont vos rapports avec les autres Camerounais qui jouent dans ce championnat Uruguayen ?
Nous avons de bons rapports, il y a Kamga Duplex qui joue dans une équipe de première division, Abdou Njankou, un ancien défenseur de Sable de Batié, Franck Daloko qui est capitaine de son équipe, nous nous retrouvons souvent les week-end et si ça se peut, on sort ensemble pour faire quelque chose à la Camerounaise. Tous ces joueurs sont arrivés en Uruguay par le canal du même manager, Domicic Tené Soh.
Propos recueillis par Guy Nsigué à Akono
Le plaisir a été pour moi de faire ce stage avec cette équipe nationale Espoirs, je remercie tout d’abord l’entraîneur de la sélection Camerounaise qui m’a permis d’être l’un des représentants Camerounais lors de ce tournoi qui se joue en Afrique du Sud. Depuis mon arrivé, le stage s’est très bien déroulé, je note que l’ambiance avec les camarades était bien, je crois que si nous continuons de cette façon en Afrique du Sud nous allons faire un bon résultat.
Comment vous avez accueilli votre sélection ?
Je crois que j’ai été très heureux d’apprendre que j’ai été retenu par le coach des lions Espoirs, mon souhait en allant en Uruguay était réussir une carrière professionnelle et revenir jouer pour mon pays. Souvent on pense revenir en sélection A, mais si ça commence pas les espoirs, il n’ y a pas de problème, il faut simplement donner le meilleur de soit, surtout que du côté de l’Uruguay où je joue on n’a pas beaucoup d’informations sur ce football ici au Cameroun, donc la meilleure idée est de venir se faire connaître et attendre une sélection meilleure.
Comment vous vous êtes retrouvé en Uruguay ?
Par le canal d’un manager Camerounais, Dominic Tené Soh qui travaillait en Uruguay avec les partenaires, c’est lui qui m’a demandé il y a trois ans d’aller faire des tests en Uruguay, j’y suis allé et les tests étaient concluants, je suis entré au Nacional de Montevideo par le centre de formation et depuis un et demi j’ai un contrat professionnel. Dominic Tené Soh compte vraiment beaucoup dans ma carrière, il a cru en moi et à mon talent.
Depuis trois ans vous êtes en Uruguay, comment ça se passe de ce côté ?
Je suis en Uruguay et ça se passe plutôt bien, je suis parti du pays il y a trois ans, je suis sociétaire du Club Nacional Montevideo actuellement champion d’Uruguay.
Comment évaluez vous le niveau du championnat Uruguayen ?
Pour ceux qui connaissent, Achille Webo, Angbwa Benoît ont joué dans mon équipe, le niveau du championnat est très élevé. C’est bien pour un joueur qui rêve avoir une grande carrière de passer par ici, c’est le vivier des clubs Européens, plusieurs joueurs sont passés par ici pour décrocher les grands contrats en Europe.
Pour ce qui est du traitement des joueurs, les salaires et autre prime ça se passe bien ?
Sur ce plan il y a pas de problème, c’est vrai que ce n’est pas le top niveau comme en Espagne, Angleterre, mais les primes de matches passent, les salaires aussi.
Vous comptez jouer là bas pour combien de temps encore ?
Actuellement il me reste un an et demi de contrat, pour le moment je suis encore en Uruguay, je ne sais pas pour combien de temps encore, en football les choses vont si vite.
Quel est votre poste de prédilection ?
Quand je suis arrivé dans le club, j’étais arrière gauche, mais avec le temps les entraîneurs que j’ai côtoyé m’ont toujours utilisé en milieu de couloir avancé parce qu’ils disent qu’avec ma vitesse et la technique individuelle il est anormal que je joue lateral.
Vous êtes le fils d’un ancien lion indomptable, est-ce que cette situation ne vous pousse pas à plus de responsabilité sur le terrain ?
Les gens pensent que c’est une compétition familiale, pour moi, pour avoir ma fierté personnelle, je dois suivre les traces de mon papa, si c’est possible, atteindre le niveau qu’il n’a pas pu atteindre, mais pas pour lui manquer de respect sinon continuer ce qu’il n’a pas pu faire et continuer à brandir le nom de la famille. Je suis fier de pouvoir faire une carrière professionnelle et porter le nom de mon papa.
En Uruguay, quand vous ne jouez pas au football vous faites quoi ?
Quand je ne suis pas dans les stades, je passe le temps à la maison avec les jeux vidéos, je rends visite aux amis, c’est impossible de vivre seul ici, je vis actuellement avec ma copie, une Uruguayenne.
Quels sont vos rapports avec les autres Camerounais qui jouent dans ce championnat Uruguayen ?
Nous avons de bons rapports, il y a Kamga Duplex qui joue dans une équipe de première division, Abdou Njankou, un ancien défenseur de Sable de Batié, Franck Daloko qui est capitaine de son équipe, nous nous retrouvons souvent les week-end et si ça se peut, on sort ensemble pour faire quelque chose à la Camerounaise. Tous ces joueurs sont arrivés en Uruguay par le canal du même manager, Domicic Tené Soh.
Propos recueillis par Guy Nsigué à Akono
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